BIG SHOW au Musée des Arts Forains !

A l’occasion des vœux, 550 collaborateurs d’une entreprise française ont été conviés à une soirée so freaky* au Musée des Arts Forains.

Un plateau d’artistes freaky !

Le lieu ayant été gardé secret jusqu’à quelques jours avant l’événement, nous avons communiqué toutes les semaines avec différents personnages créés pour l’occasion : une charmeuse de serpents, un fakir, un magicien, une diseuse de bonne aventure et M.Loyal. Les convives ont ainsi pu retrouver tous ces artistes dans des performances lives au cours de la soirée !

La transformation des convives !

Tout était fait pour transporter les convives dans un univers décalé : atelier tatouage, maquillage, photocall passe tête…

Une charte graphique déclinée !

Une prestation gourmande so « freaky » avec la reprise de la charte graphique sur tous les supports de service: yeux globuleux dans les cocktails, pop-corn salé, barbe à papa de foie gras, gaufres, chichis, pomme d’amour…

Le Musée des Arts Forains

Construit à la fin du 19ème siècle par un élève de Gustave Eiffel, ce bâtiment en pierre de meulière, abrite la reconstitution d’une fête foraine d’antan avec ses manèges et attractions. Les convives ont ainsi pu jouer aux différents manèges et attractions afin d’y collecter des badges aux couleurs de l’événement.

Le Manège des Vélocipèdes

Le manège de vélocipèdes du Musée des arts forains est un manège doté de sièges décorés où montent les enfants, mais aussi d’une trentaine de vélocipèdes disposés sur un rail circulaire et actionnés par des visiteurs adultes : ce sont eux qui font tourner le manège, les signaux du départ et de l’arrêt étant donnés par des animateurs. Le modèle présent au musée a été fabriqué en 1897 à Gand, en Belgique, par Caillebaut et Decanck, à partir d’un brevet d’invention déposé par la firme anglaise Savage et exploité en France par la maison Limonaire.

Il s’agit d’un des premiers manèges à avoir procuré des sensations fortes de vitesse à ses passagers, puisqu’il pouvait atteindre 60 km/h à une époque où l’automobile était encore balbutiante et où les vélos eux-mêmes restaient encore des objets rares, réservés aux plus fortunés ; on se déplaçait à pied ou à cheval (un cheval au galop atteignant en moyenne 30 km/h). Ce manège offrait à un grand nombre de personnes aux moyens plus modestes la possibilité d’essayer les vélocipèdes.

 

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